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Vente à distance, prospection, fidélisation, back office : laissez-nous simplifier votre recherche et vous aider à trouver un partenaire qui améliorera votre service client et commercial parmi les meilleurs Call Centers au Maroc.

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Au sommaire

Avantages des centres d’appels au Maroc

  • Main-d'œuvre hautement instruite et qualifiée
  • Proximité géographique avec la France
  • 60% moins cher qu’en France

À savoir avant d’externaliser au Maroc

Vous souhaitez délocaliser en Offshore votre relation client dans un pays qui offre à la fois une main d’œuvre qualifiée et des coûts réduits ? Le Maroc peut correspondre à vos attentes.

Accessibilité, ressources humaines, spécialités, tarifs, langues… Call Of Success fait le point sur cette implantation.

Accessibilité depuis la France
De 2 à 3 heures en avion depuis Paris et l’Europe
Horaires de travail
Décalage horaire de 1 à 2 heures selon la saison
Langues parlées par les agents
Français, Espagnol, Arabe, Anglais
Principales villes d’implantation
Casablanca - Rabat
Autres villes d’implantation
Agadir - Fès - Marrakech - Mohammedia - Tanger
Stabilité politique et économique
Pays stable et sécurisé, qui favorise le développement des Call Centers
Tarif de l’heure loguée
Entre 12 euros et 15 euros
ETP mensuel
Entre 2 292 euros et 2 865 euros (comprend le salaire, la formation, le recrutement, l’équipement, le management, etc.)
Indicateurs de production
Absentéisme peu élevé entre 5 et 10 % - 44 heures travaillées par semaine

Call of Success référence des centres d’appels au Maroc

Nos experts vous proposent des centres d’appels basés à Casablanca, Rabat, Fès, Marrakech, Agadir et ailleurs au Maroc.

Choisis selon un cahier des charges rigoureux, ces Call Centers sont classés selon leur spécialité (vente, service client...), les canaux de communication pris en charge et leurs principales forces (agilité, omnicanal, polyvalence...).

Profil type de l’agent de Call Center au Maroc

Démographie
Principalement des jeunes de 20 à 35 ans.
Formation
Souvent diplômés de l'enseignement supérieur (bac+2 à bac+5), dans des domaines pas nécessairement liés au secteur d’activité du centre (langues, économie, droit et sciences humaines notamment). 
Compétences linguistiques
Maîtrise du français et de l'arabe. Niveau d'anglais variable. Une minorité parle l’espagnol, notamment les personnes issues du nord du Maroc (Tanger, Tétouan, Nador…) ou du Sahara.
Expérience
Majoritairement des débutants ou des personnes avec peu d'expérience professionnelle. Quelques profils plus expérimentés (2 - 5 ans) dans les postes de supervision.
Compétences techniques
Familiarité avec les principaux outils informatiques, adaptabilité aux logiciels des centres d'appels. 
Soft skills
Capacités en communication et gestion du stress, souvent développées sur le terrain plutôt que par des formations dédiées.
Motivation
Tremplin espéré vers des postes de supervision, surtout dans les centres d’appels qui valorisent le capital humain. Si certains agents sont surtout motivés par la nécessité économique et visent d’autres secteurs d’activité, de plus en plus d’agents envisagent une carrière dans l’écosystème du service client ou commercial, surtout s’ils évoluent dans un Call Center structuré. D’autres enfins souhaitent pérenniser dans un poste d’agent, surtout s’ils ont un talent commercial (primes ++).
Turnover
Élevé, beaucoup considèrent ce travail comme temporaire en attendant de meilleures opportunités.
Absentéisme
Peu élevé (pour le secteur), de l’ordre de 5 à 10 %.

Facilité ou difficulté à recruter dans les centres d’appels au Maroc

À Casablanca, Rabat, Marrakech et Agadir, les centres d'appels trouvent facilement des agents francophones débutants, souvent des jeunes diplômés au chômage. Les salaires de base restent bas, autour de 3 200 – 4 000 dirhams par mois (300 à 374 €).

Les profils rares

  1. Les agents avec un français impeccable à l'écrit (même si l’IA tend à neutraliser ce problème) ;
  2. Les anglophones fluides, particulièrement demandés pour les contrats avec les clients nord-américains ou britanniques ;
  3. Et surtout les superviseurs expérimentés, capables de gérer de grandes équipes ou des projets complexes. Ces derniers peuvent exiger jusqu'à 15 000 dirhams mensuels (1 400 €) en prise de poste.

Le turnover est un problème constant, surtout pendant l’année qui suit le recrutement. Au printemps, la demande explose pour les campagnes touristiques.

Les centres d'appels font face à une concurrence croissante d'autres secteurs, notamment les startups tech et les agences web (qui deviennent de plus en plus des agences d’accompagnement digital). Ces structures attirent les profils les plus qualifiés avec des conditions de travail souvent perçues comme plus favorables que le centre d’appels moyen.

Quelles activités externaliser au Maroc ?

Service client
Vente
Autres services
Front Office, Back Office, Support technique, Fidélisation, Modération e-réputation.
Appels entrants et appels sortants, Prise de rendez-vous, Qualification de leads, Télévente.
Recouvrement, Comptabilité, Sourcing candidats, Télésecrétariat.
La ressource call of success
Guide sur pourquoi et comment externaliser
Découvrait les critères de choix d'un centre d'appels, les différentes localisations, les modèles de rémunération, et bien plus.
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Externaliser au Maroc : les forces et les points d’attention 

Forces
Points d'attention
Main-d'œuvre qualifiée et francophone
Les services délivrés doivent être définis juridiquement avec un contrat de prestations relevant du droit français en cas de litiges.
Coûts d'exploitation 60% moins chers qu'en France
Difficulté à recruter certains profils (ex: superviseurs expérimentés)
Proximité géographique : 3 heures pour atterrir à Casablanca depuis Paris. Le prix moyen du billet A/R est de 320 euros.
Turnover élevé du personnel
Stabilité politique et économique
Légère baisse de la maîtrise du français chez les jeunes générations
Infrastructure technologique développée (comparable à certains pays de l’UE)
Internet : microcoupures occasionnelles nécessitant des investissements en connectivité redondante
Fuseaux horaires favorables (1-2h de décalage)
Calendrier des jours fériés différent de la France
Population fortement polyglotte (français, arabe, et à moindre mesure anglais et espagnol)
Gestion des attentes de carrière des jeunes diplômés
Cadre fiscal avantageux, et le gouvernement marocain favorise le développement des Call Centers.
Pression sur les salaires pour les profils expérimentés
Inflation relativement maîtrisée
Niveau de vie : l’attractivité du Maroc peut augmenter à long terme le coût des ressources humaines.
Large bassin d'emploi dans plusieurs villes
D’autres pays d’Afrique du Nord offrent des coûts moins élevés que le Maroc.
Absentéisme relativement faible (5-10%)
Certaines lourdeurs administratives peuvent créer des barrières d’accès aux échanges commerciaux.
Prêt à externaliser
au Maroc ?

Confiez-nous la recherche de votre centre d’appels au Maroc. Nous vous mettons en relation avec trois partenaires sous 48h.

Les indicateurs macroéconomiques à connaître avant d’externaliser au Maroc

Indicateur macroéconomique
Valeur
Ce que ça implique pour votre externalisation au Maroc
Stabilité institutionnelle
Le Maroc est un pays stable sur le plan politique, encore plus s’il est comparé aux pays d’Afrique (du nord et subsaharienne).
Coface, assureur et grand spécialiste de la gestion des risques à l’international, évoque « l’attachement à la monarchie et une société civile active » comme piliers de la stabilité institutionnelle.
Taux de chômage
13.7 % (moyenne nationale)

Taux de chômage le plus élevé en deux décennies. 17 % en milieu urbain et 20 % chez les jeunes diplômés.
Main-d'œuvre abondante et qualifiée disponible. Coûts salariaux compétitifs. Opportunité d'embaucher des jeunes diplômés motivés, avec un bon français (la majorité des études supérieures au Maroc sont en français).
% de la population qui parle français
36 % (100 % francophones), soit 13.5 millions de personnes 

Le Maroc est le 4e pays francophone au monde après la France, le Congo et l’Algérie en nombre de locuteurs.

On note un léger éloignement du français depuis quelques années à la faveur de l’anglais et de l’espagnol.
Important vivier de francophones. Potentiel multilingue avec l'arabe et éventuellement l'anglais et l’espagnol, voire le néerlandais et l’italien avec les expatriés marocains qui rentrent s’installer au pays.

Le léger déclin du français est très progressif et n'affectera pas significativement les opérations à moyen et long terme. Le Maroc reste un pays francophone majeur.
Salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG)
3 422 Dh (environ 320 €)

Cette valeur prend en compte la hausse de 10 % actée par le gouvernement marocain le 29 avril 2024.
Le SMIG marocain est plus de 4 fois moins élevé que le SMIC français, mais il se classe en deuxième position en Afrique. Seule l’Afrique du Sud fait légèrement mieux (12 € par mois en plus).

L’Île Maurice (224 €), la Tunisie (151 €), l’Algérie (134 €), la Côte d’Ivoire (115 €) et le Sénégal (98 €) sont des pays plus compétitifs sur ce critère.
Indice de pression fiscale
Moyenne annuelle de 23 % (vs. 54 % pour la France)
Pression fiscale modérée, favorable aux entreprises. Avantage compétitif significatif par rapport à la France qui permet des coûts d'exploitation réduits et une meilleure rentabilité. La réforme sur la fiscalité des dividendes de 2023 fait progressivement baisser la retenue à la source de 15 à 10 % jusqu’à 2026.
Taux d’inflation
1 % en variation annuelle (juillet 2023 à juillet 2024), en baisse spectaculaire après une période de forte hausse (+ 10 % fin 2022).
Signal fort de résilience économique qui renforce la confiance des investisseurs. Baisse rapide de l'inflation = politique monétaire agile. Contexte favorable pour planifier un investissement avec des coûts opérationnels relativement prévisibles à court/moyen terme.

À noter : l’ensemble de ces valeurs sont tirées de sources officielles et fiables, notamment le Haut-Commissariat au Plan marocain, le gouvernement marocain, l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), Bank Al Maghrib (banque centrale marocaine) et le FMI.

La note du ministère français de l’Économie sur le Maroc

« Le Maroc a su faire preuve de résilience et maîtriser ses équilibres macroéconomiques, sécurisant ainsi son accès aux financements. Cette capacité de financement sera sollicitée pour répondre aux défis à venir :  reconstruction post-séisme, réformes sociales, transition écologique, coupe du Monde 2030. »

Les fêtes et jours fériés au Maroc

Comme en France, les jours fériés au Maroc célèbrent des événements nationaux et des fêtes religieuses. La répartition est la suivante : 

  • 9 fêtes civiles nationales dont le 1er janvier, le 1er mai et la fête du Trône, plus grande fête nationale, qui célèbre l’intronisation du monarque. À noter : quatre de ces fêtes arrivent en cascade entre le 30 juillet et le 21 août de chaque année. Parfois, une fête religieuse vient s’ajouter à ces ponts estivaux (voir plus bas).
  • 4 fêtes religieuses, dont les dates sont définies par l’observation de la Lune (calendrier islamique). Naturellement, leurs dates bougent chaque année si l’on se réfère au calendrier grégorien.

Total : 13 jours chômés et payés (dans le privé), contre 11 jours en France (vs. 14 jours en Algérie, 12 en Tunisie ou encore 15 en Île Maurice).

Dans le privé, chaque fête (civile ou religieuse) donne lieu à un seul jour de congé chômé et payé. Mais dans les fêtes religieuses, le salarié peut ajouter un deuxième jour chômé (mais pas nécessairement payé). Tout dépend de la politique RH de l’employeur et des conventions collectives (si elles existent).

Théoriquement, les centres d’appels français qui opèrent au Maroc doivent s’aligner sur le calendrier des jours fériés marocains. En revanche, dans la pratique, on observe parfois une situation hybride, où : 

  • Les conseillers bénéficient de jours chômés et payés pendant les jours fériés français ;
  • Ils travaillent pendant certains jours fériés marocains ;
  • Ils bénéficient de jours fériés chômés et payés lors des principales grandes fêtes nationales, à savoir Aïd el-Fitr (qui marque la fin du ramadan) et Aïd el-Kebir, une quarantaine de jours plus tard.

Infrastructures technologiques et connectivité au Maroc

Le Maroc s’est vu attribuer la note de 91.7 sur 100 dans l’indice de développement des technologies de l’information et de la communication (ICT) établi par l’ONU en 2024

C’est autant que la Grèce, les Pays-Bas et légèrement moins que le Japon (à 0.2 points près). Pour comparer :

Maroc
Algérie
Tunisie
Île Maurice
Sénégal
France
Score ICT
91.7
86.3
89.5
58.5
74.3
95.3

La 4G est largement disponible, et le Maroc se prépare à la 5G. Les entreprises ont le choix entre trois fournisseurs pour la fibre optique (jusqu’à 200 Mbps) et la téléphonie : Maroc Telecom, opérateur historique, Orange et Inwi.

À SAVOIR
‍Les microcoupures brèves (de quelques secondes à quelques minutes) peuvent poser problème. Les centres d’appels investissent généralement dans des connexions redondantes (souvent une ligne fibre principale doublée d'une connexion 4G de secours) pour garantir la continuité du service, ce qui augmente (légèrement) les coûts opérationnels.
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Nos offres d'accompagnement

Nous répondons à vos questions à propos des Centres d'appels au Maroc

Le Maroc a une mauvaise réputation en matière de qualité des services et de la faiblesse des niveaux de langage. Qu’en est-il réellement ?
Quelles sont les activités dans lesquelles le Maroc est expert en matière de relation clients ?
Quelles sont les mesures de sécurité des données mises en place dans les centres d'appels marocains ?
Existe-t-il une durée minimale de contrat pour externaliser au Maroc ?
Les centres d'appels marocains sont-ils suffisamment flexibles pour s'adapter à nos besoins commerciaux ?
Les centres d’appels marocains offrent-ils un support multicanal (email, chat, téléphone) ?
Combien de centres d’appels sont actifs au Maroc ?
Quel est le niveau de formation des conseillers clients au Maroc ?
Quelles sont les recommandations de Call Of Success pour la délocalisation de mon activité de relation client au Maroc ?